dimanche, décembre 31, 2006

Allez, pleins de bonnes choses!


Aïd Moubarak Saïd et Bonne Année 2007, plein de réussite, de bonheur et pleins de bonnes choses.
On est déjà à l'an 2007. Ne vous inquiétez pas, ca vous prendras pas moins d'un mois pour vous y faire.
Espérons que ce hasard des calendriers nous porteras chance dans notre vie.
Prenez garde aux indigestions et ne mélangez pas le méchoui avec la dinde.

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jeudi, décembre 28, 2006

Lammagni : «mettons fin à l’hécatombe»

Les étudiants de l'Ecole Hassania des travaux publics se mobilisent contre l'insécurité routière. Pour ce faire, ils ont créé une structure associative et engagent une action de sensibilisation sur le terrain. Assia Lammagni, présidente de cette association, explicite cette initiative. Entretien


ALM : Vous venez de lancer une campagne de sensibilisation intitulée «Sécurité routière, je m'engage» destinée aux jeunes. En quoi consiste cette initiative ?
Assia Lammagni : Le coup d'envoi de la campagne "Sécurité routière, je m'engage" a été donné lundi 25 décembre à l'Ecole Hassania des travaux publics de Casablanca. Cette opération, qui représente l'action centrale de l'Association marocaine des jeunes usagers de la route (AMJR), est destinée aux jeunes étudiants des établissements de l'enseignement supérieur et de la formation des cadres. Elle consiste à organiser des conférences et rencontres-débats dans les établissements des différentes villes du Royaume. Dans un premier temps, nous allons concentrer nos activités à Casablanca et Rabat, ciblant ainsi près de 200.000 étudiants. Les établissements concernés sont l'Ecole nationale supérieure d'informatique et d'analyse des systèmes, l'Institut national des postes et télécommunications, l'Ecole Mohammadia d'ingénieurs, la Faculté de médecine dentaire de Casablanca ainsi que la Faculté de la médecine et de la pharmacie. La Faculté des sciences juridiques et sociales de Aïn Chock est également concernée par cette, action qui se prolongera jusqu'en avril prochain. Des dépliants seront également distribués. Une exposition sur les premiers soins qu'il faut apporter aux victimes d'un accident de circulation est également prévue au programme. Les étudiants seront invités à signer la charte de la sécurité routière, ce qui représente un engagement à être un bon usager de la route.

Qu'est-ce qui a motivé la création de votre association ?
Le Maroc connaît ces dernières années une hausse inquiétante des accidents de la circulation et des victimes.
On déplore chaque jour de nouveaux morts et blessés. Nos routes tuent quotidiennement et endeuillent des familles. J'ai vécu personnellement ce drame. C'est la raison pour laquelle j'ai décidé de m'engager à fond dans cette action. J'en ai parlé à plusieurs étudiants. Ils étaient très motivés et prêts à s'investir. Nous avons donc créé AMJR. Je pense que chacun a sa part de responsabilité. Tout le monde est concerné et nous devons agir. La lutte contre l'insécurité routière constitue désormais un défi. Nous avons choisi de concentrer nos activités sur Casablanca et Rabat pour deux raisons : le nombre élevé d'accidents et de victimes et le manque d'associations oeuvrant dans le domaine de la sensibilisation des jeunes.

Quelles sont les autres actions que l'association compte mener ?
La campagne "Sécurité routière, je m'engage" sera un événement annuel. La 2ème édition aura lieu en septembre prochain à l'occasion de la rentrée scolaire. Parallèlement, nous organiserons une autre campagne d'information et de sensibilisation destinée, cette fois-ci, à un public plus jeune. Elle visera les élèves des collèges, des lycées et des établissements de l'enseignement primaire. Pour plus d'efficacité, nous avons décidé de créer des clubs de sécurité routière dans les écoles ciblées. Ils mèneront des activités d'information tout au long de l'année. Nous voulons, par ce biais, mettre fin à l’hécatombe actuelle.

Source: Aujourd'hui Le Maroc

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dimanche, décembre 24, 2006

Sécurité routière, je m'engage.

Sous l'égide de l'EHTP et le parrainage de la championne Nawal Moutawakil, l'Association Marocaine des Jeunes usagers de la Route, AMJR, organise le 24/12/2006 la première édition de la grande opération de prévention routière. Le départ de cette opération sera donné à l'EHTP en présence du ministre de l'équipement, de la championne olympique Nawal Moutawakil et plein d'autres personnalités. Elle sera sous le signe; "Sécurité routière, je m'engage"

Cette compagne de sensibilisation,
qui durera jusqu'au 18Avril 2007, concentrera ses activités dans un premier temps dans les deux villes : Grand Casablanca et Rabat, ciblant un total d’environ 200.000 étudiants répartis sur les différents établissements d’enseignement supérieur et de formation de Cadres dans ces villes.
Durant cette journée, plusieurs activités seront au rendez-vous:

  • Des stands d'informations et de sensibilisations.
  • Diffusion de films et reportages de sensibilisations.
  • Des rencontres débats avec différents intervenants.
  • Invitation à signer une charte d'engagement de foi à respecter les règles d'un bon usager.
J'applaudis cette association dont les membres ne sont que nos camarades à l'école. Et sachez que toute l'école vous soutiens dans votre action même si vous n'êtes pas arrivé à convaincre l'administration de nous libérer des cours pour participer aux activités.




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Anfa : un mégaprojet urbain

  • Développement du shopping africain au niveau du boulevard Moulay Youssef.
  • Lancement en 2007 de la médiathèque de la Mosquée Hassan II.
  • Installation d'une Académie des arts pour conserver et promouvoir la production de l'artisanat marocain.
  • Création d'un nouveau zoo digne de la métropole.
  • Mise à niveau de la gestion des carrières.


Le mégaprojet urbain de Casa-Anfa sera érigé sur une superficie de 360 ha. Il comportera un square de 60 ha en plus d'activités d'habitat, d'équipement et de loisirs.

Il sera bâti à la place de l'aérodrome de Casa-Anfa.
Détenue à hauteur de 100 ha par l'Office des aéroports et 260 ha par les Forces Armées Royales, cette assiette foncière, se situant en plein centre de Casablanca, est destinée à être intégrée dans le tissu urbain de la capitale économique du Royaume. Près de 60 ha seront dédiés à des zones vertes, afin de combler le déficit enregistré dans ce domaine dans la plus grande ville du Royaume.

Une agence d'urbanisation et de développement d'Anfa a été créé et Khadir Lamrini a été nommé au poste de directeur de cette agence. Compte tenu de l'importance d'un tel projet, plusieurs études sont en cours pour permettre une meilleure liaison avec le centre-ville à travers notamment un réseau ferré rapide.

Le site sera aménagé de façon à offrir des activités économiques, commerciales et culturelles avec un intérêt particulier pour les espaces verts, conformément aux instructions Royales.

Source: LE MATIN

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samedi, décembre 23, 2006

De bonnes sources

  • Interdiction de l’hebdomadaire «Nichane»
  • Les travaux de Rabat Technopolis démarrent
  • Les barrages remplis à 54%
  • Attractivité Maroc: Télécoms et NTI ne séduisent pas
  • Signature d'une convention entre l'ENA et Chaâbi Lil Iskane


  • Interdiction de l’hebdomadaire «Nichane»
Le Premier ministre a pris un arrêté motivé d’interdiction de l’exposition sur les voies publiques ainsi que la diffusion par quelque moyen que ce soit de l’hebdomadaire «Nichane» publié en langue arabe, indique un communiqué du Premier ministre.
Par ailleurs, le procureur du Roi près le tribunal de première instance de Casablanca a ordonné à la police judiciaire de diligenter une enquête au sujet de l’article publié par l’hebdomadaire, dans son édition n° 91, livraison du 9 au 15 décembre 2006, sous le titre «Blagues: comment les Marocains rient de la religion, du sexe et de la politique?» et qui renferme des expressions «attentatoires» à la religion islamique.
Est ce vraiment atteinte à la religion islamique, ou bien c'est une atteinte à la liberté d'expression. Tout est relatif.

  • Les travaux de Rabat Technopolis démarrent:
Les travaux d’aménagement de la technopole de Rabat ont démarré depuis quelques jours. C’est la CDG, via sa filiale Maroc hôtels villages (MHV), qui s’est vu confier les travaux. La première tranche, réalisée sur une parcelle de 107 hectares, portera sur la construction de 50 000 m2 de bureaux et locaux professionnels qui seront livrés courant 2008. Parallèlement, la société de gestion a été créée. Elle s’appelle Technopolis Gestion SA et compte pour l’instant comme actionnaires le ministère des affaires économiques et générales et MHV, sachant que d’autres partenaires privés pourront rejoindre le tour de table. Rabat Technopolis sera dédiée essentiellement à la recherche et développement, à la formation ainsi qu’à l’offshoring.
Bientôt le Rabatshore.

  • Les barrages remplis à 54%
Les dernières précipitations ont produit leurs premiers effets. Le taux de remplissage des barrages au 13 décembre a atteint 54,4% contre 41% seulement à la même période de l’année dernière. Les taux de remplissage des plus grands réservoirs restent également supérieurs à la moyenne, notamment Al Wahda (74%), Idriss 1er (68,7%), Bin El Ouidane (63,6%). En revanche, la situation reste inquiétante pour le deuxième plus grand barrage du pays, en l’occurrence Al Massira, qui présente un taux de remplissage de 19% seulement.
C'est le moment de connaître les noms des barrages marocains. Ici
  • Attractivité Maroc: Télécoms et NTI ne séduisent pas
Tourisme et loisirs sont les secteurs les plus attractifs pour les trois prochaines années. Ce sont les résultats de la dernière étude du cabinet Ernst & Young sur l’attractivité du royaume auprès des investisseurs étrangers. 48% d’entre eux le pensent. Les infrastructures et les équipements de télécommunications se placent en deuxième position (27%). Ernst & Young précise que ces deux secteurs ont enregistré la plus forte hausse par rapport à l’année dernière (+ 16 points). Idem pour les équipements de haute technologie. Ils passent de 8% de taux de citation en 2005 à 16% en 2006. Quant aux services de haute technologie et de télécommunication, ils ne semblent pas susciter les investisseurs étrangers outre-mesure.
L'école doit penser à préparer un master en tourisme.

  • Signature d'une convention entre l'ENA et Chaâbi Lil Iskane
L'Ecole Nationale de l'Architecture (ENA) et la société Chaâbi Lil Iskane, ont signé une convention de partenariat destinée à développer les échanges scientifiques et technique entre les deux parties dans les domaines de la formation. En vertu de cette convention, "Chaâbi Lil Iskane sera notamment consultée pour le montage de cours relatifs à la promotion immobilière, animera des conférences complémentaires au cours de l'enseignement initial et fera intervenir des industriels lors de cet enseignement". Cette convention, signée par El Montacir Bensaid et Miloud Chaâbi, respectivement directeur de l'ENA et président du conseil d'administration de Chaâbi Lil Iskane, porte également sur l'organisation de visites aux différents chantiers du groupe immobilier au profit des étudiants de l'ENA.
C'est pour quand le partenariat avec l'EHTP?!


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jeudi, décembre 21, 2006

Problème d'installation d'IE7 et de WMP11

Vous voulez certainement découvrir le nouveau Internet Explorer7 et Windows Media Player11 mais vous n'arrivez pas à l'installer faute de clé d'activation authentique. Sachez que pour tout problème, il existe une solution.

Cette solution demeure infaillible, mais elle entre dans le domaine du Crack. Ce qui revient à utiliser des méthodes forcés pour détourner les protections.
Est ce que c'est du vol ?! Moi-même, j'ai pas de réponse à cette question d'ordre morale.


Voici comment procéder pour dévier le fameux Microsoft Genuine Validation:

  1. Démarrer > Exécuter > Taper "regedit"
  2. Chercher la clé: HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\Windows NT\CurrentVersion\WPAEvents\OOBETimer
  3. Changer ses valeurs n'importe comment pour pouvoir réentrer la nouvelle clé d'activation
  4. Fermer l'éditeur de registre ("regedit")
  5. Démarrer > Exécuter > Taper "%systemroot%\system32\oobe\msoobe.exe /a"
  6. L'icône d'activation va apparaître. Clicker sur enregistrer par téléphone, puis clicker sur changer la clé d'activation et entrer cette clé qui vaut de l'or: JG28K-H9Q7X-BH6W4-3PDCQ-6XBFJ.
  7. Voilà c'est terminé. Votre version Windows est reconnu par Microsoft.
Vous pouvez maintenant installer IE7, mais je vous avoue que Firefox le dépasse largement. C'est à vous de comparer maintenant. Vous pouvez aussi mettre à jour WMP et migrer vers la version 11. Je vous laisse alors le soin de commenter cette nouvelle version proche du décor de Windows Vista.

NB: Ce Crack n'est valable que pour Windows XP professionnel

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Le potentiel des SIG au Maroc

Dans un podcast réalisé par Maroc IT, le jeune entrepreneur, Fayçal Chraïbi, directeur général de Global Navigation fait le point sur le potentiel des systèmes d’information géographique (SIG) et les conséquences de la censure de Google Earth au Maroc.

Le périmètre des activités de Global Navigation couvre plusieurs domaines liés à l’univers des cartes et des SIG avec une approche régionale qui ambitionne assurer des services à destination des pays de l’Afrique du Nord. Il s’agit notamment du géomarketing, du LBS (location based services) et des données géographiques de base (route, pharmacie, secteurs vitaux…).

Outre GNV, plusieurs entreprises se positionnent sur ce marché à fort potentiel. C’est le cas de Cadtech, Géomatic et GéoConseil.

Les détails sur le potentiel des SIG au Maroc dans le podcast de MarocIT.


Source: MarocIT

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lundi, décembre 18, 2006

Les promesses du Web 2.0

  • Petite revue de détail des changements en cours sur le Net et ailleurs liés à l'émergence du Web 2.0.
  • Bienvenue dans l'entreprise 2.0
  • L'internaute, un citoyen au centre de toute chose.
  • Ma petite entreprise web ne connaît pas la crise.
  • La diffusion de l'information n'est plus ce qu'elle était.
  • De nouveaux modèles publicitaires.
  • Le mariage annoncé du web et de la télévision.
  • La start-up sera globale ou ne sera pas

« Par principe, on devrait se méfier de tout ce qui est estampillé Web 2.0. » Non, ce n'est pas une maxime de vieux sage. Juste un conseil prodigué par l'un des intervenants à la conférence Le Web 3 qui s'est tenue les 11 et 12 décembre à Paris. Ceci étant, s'il est toujours facile de croire les mauvais augures qui annoncent l'éclatement d'une seconde bulle spéculative sur Internet, on peut aussi se raccrocher à une autre réalité, celle d'une nouvelle vague technologique qui, portée par l'innovation, bouleverse nos repères et nos petites habitudes sur le Net avant, peut-être, d'affecter demain notre vie quotidienne. Pendant deux jours à Paris, des dizaines d'intervenants se sont exprimés sur le sujet. Résumé des idées fortes sorties de ce mini-Davos de l'Internet.

Bienvenue dans l'entreprise 2.0

Le Web 2.0 a fait émerger de nouvelles techniques de travail, dites collaboratives, notamment grâce au wiki ou aux blogs. « Nous avons recours au wiki pour organiser des réunions ou développer des projets », confirme ainsi un représentant du groupe de presse allemand Burda. Pour Ross Mayfield, qui dirige Social Text, une entreprise virtuelle sur Internet, le wiki et ses nouveaux usages sont un paradoxe vivant. « Ce type de comportement comme le partage de l'information, quand on était à l'école, on appelait cela de la triche, mais maintenant, dans le monde de l'entreprise, c'est du travail collaboratif. »

L'internaute, un citoyen au centre de toute chose

Autre tendance importante du Web 2.0, le rôle joué par l'utilisateur du service, c'est-à-dire par l'internaute lui-même. « Tout le monde devient éditeur de contenus », s'enthousiasme le fondateur du site de réseau social LinkedIn, Reid Hoffman. Une antienne reprise par Pierre Chappaz, créateur de Kelkoo et de Wikio sur le mode « les internautes deviennent des experts ». « Internet, ce sont les citoyens qui cessent d'être passifs pour devenir actifs. On devient acteur du monde de l'information et au-delà, un acteur de sa propre vie », analyse ainsi de manière surprenante François Bayrou, le très connecté candidat à l'élection présidentielle, à l'occasion de la conférence Le Web 3.

Ma petite entreprise Web ne connaît pas la crise

En quelques clics, n'importe quel internaute peut désormais ouvrir son échoppe sur le Web. On connaissait les places de marché comme eBay ou PriceMinister. Aujourd'hui, des services comme Spreadshirt ou Zlio.com simplifient encore la donne. Le premier propose aux internautes d'ouvrir gratuitement leur boutique clefs en main. Le second réinvente le principe de l'affiliation sur le Web. L'internaute ouvre une boutique virtuelle où il recommande des produits. Si les utilisateurs achètent ses références, il touchera une commission à partager avec Zlio.com.

La diffusion de l'information n'est plus ce qu'elle était

Avec tout ce que cela change dans la diffusion et la consommation de l'information. Au lieu d'être totalement centralisée comme c'était le cas auparavant, cette dernière est désormais éclatée. « Il y a désormais trois façons de consommer de l'information, explique Pierre Chappaz, aller à la source de l'information diffusée par les médias traditionnels, agréger l'information ou consulter l'actualité sur des blogs (60 millions en septembre 2006 selon le moteur de recherche Technorati) et des sites spécialisés à haute valeur ajoutée qui officient sur des marchés de niche avec un lectorat très qualifié. » Ces changements, ajoute Pierre Chappaz, ont été rendus possibles grâce à deux technologies déterminantes, le RSS (qui permet de récupérer des fils d'information en temps réel) et le langage Ajax (qui permet de personnaliser une page Internet selon ses désirs).

De nouveaux modèles publicitaires

Pour certains observateurs, peut-être un peu avant-gardistes (mais pas tant que cela si l'on se fie aux résultats financiers d'un Google), les modèles publicitaires traditionnels seraient en train de voler en éclats. « L'apparition de la publicité contextuelle va changer les choses, prédit Pierre Chappaz. Regardez les liens sponsorisés : pour beaucoup d'internautes, ils ne sont plus perçus comme une agression publicitaire mais comme une information utile et pertinente. »

Le mariage annoncé du Web et de la télévision ?

Au-delà des médias papier, le monde de l'image, à commencer par la télévision, est également affecté par le Web 2.0. C'est l'émergence des plates-formes de diffusion (YouTube, Dailymotion...) et parfois d'édition et de montage de vidéos en ligne (VPod.tv).

« Les générations montantes ne regardent plus la télévision », constate l'investisseur Ouriel Ohayon, également animateur du blog TechCrunch. « Ce n'est pas un problème à partir du moment où l'on arrive à diffuser le bon contenu au bon public », explique Rodrigo Sepulveda fondateur de VPod.tv. Et dans ce domaine, on peut parier que quelques révolutions sont en préparation comme The Venice Project, fomentée par le créateur de Kazaa et de Skype Niklas Zennström, qui ambitionne de réunir dans un même projet « le meilleur du Web et de la télévison ». Tout un programme.

La start-up sera globale ou ne sera pas

Pour lancer sa start-up dans le Web 2.0 comme dans le Web 1.0, rien ne vaut une bonne levée de fonds pour amorcer la pompe. Mais la donne commence à changer dès que l'on aborde le thème de la création de richesses. Auparavant, chez les papys de l'Internet, dans les années 2000, on profitait d'un premier tour de table pour ouvrir son entreprise dans cinq pays en quinze jours, souvent au petit bonheur la chance.

Dans le Web 2.0, si vous avez une idée et un peu de maîtrise technologique, et que vous pensez « global », pas de panique... Les internautes sont là pour vous aider et enrichir votre projet (au sens propre comme au sens figuré). A l'instar d'un Netvibes, un service de personnalisation de page d'accueil que des internautes du monde entier ont gracieusement « localisé » en le traduisant, qui en esperanto, qui en swahili.

Source: 01Net.

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dimanche, décembre 17, 2006

Un nouveau décor au réfectoire

Après tant d'années de Raibi et de Kefta, l'année 2007 à l'EHTP sera l'année de tous les changements. En effet, l'administration a jugé bon de déléguer la restauration à un leader du domaine au Maroc: Eurest.

Découvrons cette enseigne:
  • Elle fût introduite au Maroc en 1985.
  • En 1995, Compass Group acquiert Eurest.
  • En 2006, Eurest gère plus de 70 établissements dans le secteur des entreprises, écoles, universités, hôpitals, et tenez-vous bien des prisons.
Parmi ces stratégies, Satisfaire ses clients et ses consommateurs.
Espérons alors qu'il nous ferons oublier les salles plats qu'on a partagés.

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samedi, décembre 16, 2006

Créez votre propre blog, C'est facile, C'est pas facile!

Rien de plus facile. Il suffit de se rendre sur un site qui propose un service de création de blogs. L’inscription est en général simple. Un mail et un mot de passe, et vous voilà maître de votre propre blog. Pour l’administrer, c’est, encore une fois, presque un jeu d’enfant. Parallèlement à la face publique du blog que peuvent visiter tous les internautes, vous aurez accès à une face privée grâce aux références indiquées lors de l’inscription. A partir de cette page strictement personnelle, vous pourrez éditer vos messages et articles, communément appelés «billets», et les classer en différentes catégories. Libre à vous ensuite de permettre ou non à vos visiteurs de réagir à ces billets en éditant des «commentaires».

Pour le Maroc, il y a plusieurs plate-formes locales : blog.ma pour les blogs francophones et blogjahiz.ma pour les blogs en langue arabe. Les plateformes internationales existent en abondance, comme skyblog.

Le meilleur est celui que j'utilise est blogger. Je ne fais pas de la publicité, mais je peux vous dire que cette plate-forme, qui appartient à la grande famille Google, offre plusieurs options, comme par exemple posté des podcasts audio ou vidéo et j'en passe.

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20 000 Marocains atteints par la blogomania

  • On en comptait seulement une dizaine il y a deux ans, aujourd’hui des célébrités se dévoilent sur le net.
  • Deux blogs marocains, Jankari.org et mshjiouij.com, sont mondialement classés parmi les meilleurs.
  • Avantage : écrire quand on veut, comme on veut. Mais il faut être disposé à dévoiler des pans de sa vie privée.


Encore timide en 2004, puisqu’on ne comptait alors pas plus d’une dizaine de blogs, la blogosphère marocaine, ou «blogoma», brille par le nombre de plus en plus important de ceux qui s’y adonnent, par la diversité et la qualité thématique et rédactionnelle des sujets abordés. Leur nombre ? Difficile de le connaître avec exactitude (on compte actuellement 80 millions de blogueurs à travers le monde), du fait que des dizaines de blogs marocains se créent et disparaissent tous les jours), mais on les estime à environ 20 000 à l’heure actuelle. Ce nombre est appelé logiquement à s’étoffer davantage, ne serait-ce qu’en raison du nombre de plus en plus grand d’internautes qui surfent sur la toile (on les estime à 5 millions, dont 358 000 abonnés, à 98% sur ADSL).

Pour vous en convaincre, cliquez sur maroc-blogs.com. En un clin d’œil, vous aurez droit à un premier annuaire. Dans cet annuaire, vous tomberez sur l’inévitable Larbi.org, l’un des plus populaires de la blogosphère marocaine. Sa devise affichée (chaque blogueur donne un nom à son blog) en première page de son blog : «Comme si vous jetiez une bouteille à la mer». Et pour cause, c’est depuis Paris, où il réside (mais la toile a-t-elle des frontières ?), que Larbi a créé son blog en octobre 2004, a écrit son premier billet, comme on jette effectivement une bouteille à la mer. Comment en a-t-il eu l’idée ? Il le raconte lui-même sur son blog : «Vendredi 15 octobre 2004, 8h12 du matin dans la ligne 12 du métro parisien. Comme chaque vendredi, je lis Libé en commençant par la chronique de Daniel Schneidermann : Médiathèques. L’ancien chroniqueur télé du quotidien Le Monde, licencié pour avoir critiqué la position de sa direction lors de la sortie de l’ouvrage très critique vis-à-vis du quotidien, La face cachée du monde, puis embauché par Libération, évoque ce jour-là le phénomène des blogs. «J’ai beau surfer sur le net, écrit-il, c’est la première fois que je fais attention à l’ampleur de ce phénomène». Le chroniqueur de Libération a une petite intuition : “Un jour ou l’autre, écrit-il, le territoire du Bloguistan devra être balisé”».

Larbi.org écrit ses billets, comme très souvent les Marocains de l’étranger, pour garder un lien quotidien avec leurs compatriotes, voire participer aux débats qui agitent leur pays. Rachid Jankari - jankari.org -, lui, a créé le sien à Casablanca et a brillé par la qualité de son produit, à tel point qu’il lui a valu une consécration internationale. Son blog a été désigné, parmi 5 500 blogs qui ont concouru dans le monde, dont celui (en arabe) d’un autre Marocain, Mohamed Hjiouij(www.mshjiouij.com), comme le meilleur en langue française par le jury de la 3e édition du concours international «Best of the Blogs», pour participer à la phase finale du concours. Le 11 novembre, après quatre semaines de vote des internautes, le verdict tombe, à Berlin : le blog marocain de Jankari est classé troisième meilleur dans la catégorie francophone, et celui de Hjiouj huitième meilleur en langue arabe.

En réalité, le succès du blogging marocain ne date pas de 2006. Déjà en 2005, Nisrine Tazi, «Cœur de Lion», blogueuse marocaine, figurait parmi les gagnants du concours de 2005 dans la catégorie des blogs en langue arabe, et «Al Jinane», le blog du journaliste marocain Tarik Essaadi a été consacré la même année par Reporters sans frontières (RSF) comme meilleur blog africain pour la liberté d’expression.

Celui de Jankari a même défrayé la chronique dans le microcosme des blogueurs marocains le jour où il publia, en juillet 2006 (après sa démission de Maroc Telecom où il était responsable de la rubrique technologie du portail Internet Menara), un billet intitulé : «Depti Gate : le billet d’avion qui a coûté

100 000 DH». L’information, relayée instantanément par des milliers de blogueurs, concerne effectivement le prix faramineux (110 389 DH) du déplacement, en mars 2006, du secrétaire général du Depti (Département de la poste et des technologies de l’information, NDLR) par intérim, en Nouvelle-Zélande pour assister à la réunion de l’ICANN (Corporation for Assigned Names and Numbers). L’information, très crédible puisque étayée par la facture du déplacement, entraîna illico presto la révocation du responsable en question. Et fait gagner, par la même occasion, à la blogosphère marocaine son premier galon : on n’était plus en face de jeunes amateurs mais de journalistes chevronnés, dotés du pouvoir d’impacter, par le biais de la toile, sur le cours des événements dans leur pays.

Et ce lauréat de l’Isic (DES en 2002) ne s’est pas arrêté en si bon chemin : le 5 mai 2006, il annonce sur son blog la création d’une entreprise de presse électronique et des services, appelée «Mit Media» (Maghreb information technology Media), avec, en parallèle, le lancement d’un magazine électronique d’information sur les TIC au Maroc et au Maghreb. Son entreprise, au lieu de créer un site web comme la majorité des entreprises marocaines, a opté pour la formule blog pour communiquer, que Jankari juge «plus simple, plus efficace et plus interactive». D’ailleurs, selon lui, «deux faits ont marqué la blogosphère marocaine en 2006 : la profusion des blogs arabophones, et les entreprises qui passent de plus en plus à la formule blog».

De quoi parlent donc les blogueurs sur la toile et comment se manifestent leurs lecteurs ? C’est très variable. Une promenade sur la toile en donne une petite idée (voir l’annuaire des blogueurs chez larbi.org et jankari.org). Il s’agit en majorité d’écrits autobiographiques, de journaux intimes, de débats sur l’actualité politique, culturelle, philosophique, littéraire, tant nationale qu’internationale. Arrêtons-nous sur boumaalif.canalblog.com, du jeune Othmane Boumaalif, très apprécié par la communauté des blogueurs. Sa devise est ambitieuse : «Un espace de tolérance, de discussion et de réflexion autour de ce qui préoccupe l’humanité.» Ambitieuse à l’instar de son auteur : 24 ans à peine, une formation médicale à la Faculté de médecine et une thèse de doctorat en informatique médicale (une spécialité encore émergente) en préparation.

Débat respectueux et serein même quand on n’est pas d’accord
Et ce n’est pas tout. Avec deux amis, il lance une entreprise spécialisée dans la création internet, SM Web Agency et tous les trois éditent un portail d’information générale basé à Casablanca, «Le courrier de Casablanca» (www.courriercasablanca.com). Othmane reconnaît qu’un blog est à l’image de son animateur. Le sien est intelligent et d’une grande sensibilité. A un lecteur qui lui demande quand il a pleuré pour la dernière fois, il répond sincèrement : «La dernière fois que j’ai ressenti le besoin de pleurer date du 2 septembre dernier. J’assurais une garde de pédiatrie, un nouveau-né était en détresse, j’ai essayé de le réanimer pendant plusieurs heures (de 5h du matin à 10h), en vain. J’appelai une structure hospitalière mieux équipée pour le prendre en charge. Pas de place disponible. Il succomba finalement, m’ôtant le sourire durant plus d’une semaine». Othmane est ouvert d’esprit : son billet «Faut-il ne pas faire Ramadan ?» du mois de septembre écoulé, lui a valu, par sa franchise, une volée de bois vert. «La profession de foi devrait émaner du cœur et non pas suivre une piètre logique de troupeau», avait-il écrit. Réponse d’un lecteur : «“Si tu n’as pas honte, fais ce que tu veux !”, disait notre Prophète», avait commenté un de ses lecteurs. Le débat est resté toutefois serein et respectueux, et, à aucun moment, il n’a tourné aux insultes.

Les lecteurs deviennent comme une famille qu’on a du mal à laisser tomber
Journalistes, publicitaires, avocats, militants associatifs, juristes, informaticiens... se prêtent désormais au jeu des blogs, expriment leurs idées et leurs préoccupations, dévoilent leur vie intime à travers photos familiales et autres confessions intimes. Un jeu d’adolescents en mal de communication et de reconnaissance ? Ce serait mal connaître le monde des blogueurs que de le croire.

Autre question : quelle est la durée de vie d’un blog ? Certains blogueurs, fatigués de devoir actualiser chaque jour leur blog, par manque d’inspiration ou sur un coup de tête, décident de fermer le leur. D’autres le font à la suite d’un déclic. C’est le cas de Mohamed Laroussi (laroussi.net), patron connu d’une agence en communication. Le 15 octobre, il écrit en effet sur son blog : «Peut-on être un patron d’entreprise, donc forcément “adulte”, être marié, donc “rangé”, avoir des enfants, donc “responsable”, rouler en 4x4, donc “riche”, et, être, en même temps, un “simple” blogueur ? C’est la question qui m’a été posée hier soir, d’une manière qui se voulait être, au début, sympathiquement provocatrice, mais qui a fini, très vite, par être terriblement maladroite. Elle m’a, littéralement, sonné, et m’a poussé, et ça ne m’arrive pas souvent, à me remettre sérieusement en question». Une semaine plus tard, il décide de baisser le rideau tout en s’excusant auprès de ses lecteurs. Aussitôt, il reçoit une avalanche de réactions qui le font revenir sur sa décision : 1 382 personnes ont lu son billet et 58 l’ont commenté. Lorsqu’on fidélise des lecteurs, on crée une famille et on a du mal à s’en séparer.

Source: LA vie économique.

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vendredi, décembre 15, 2006

Forum des métiers

Aujourd'hui, notre école a organisé une rencontre avec des chefs d'entreprise du secteur du BTP. Cette après-midi a été enrichissante en enseignement. Cette initiative de la part de l'école a été chaleureusement accueilli de la part des élèves où j'ai noté une présence importante à la salle de conférence.
Le directeur, Monsieur Guendouz a pris en premier la parole où il a mis l'accent sur le rôle fondamental d'une telle réunion qui ne peut être que bénéfique pour l'élève ingénieur. Ensuite il a souligné la part importante du secteur du BTP dans le développement du pays. Les chiffres présentés par un des participants lors de son exposé ne peuvent que le confirmer. Saviez-vous que le BTP participe à hauteur de 7,5% dans le PIB? On a eu droit à des statistiques très prometteuses pour le secteur du BTP. J'étais réjouis et j'étais pas le seul jusqu'au moment où le représentant de l'entreprise SEPROB a déclaré que les ingénieurs marocains issus des écoles françaises étaient plus appréciés que ceux du Maroc dans le milieu professionnel. Il ne s'est pas arrêté là, mais il a enfoncé le clou dans la critique en ajoutant que nous devons s'intéresser beaucoup plus au stages car ils représentent un critère déterminant lors des recrutements. Heureusement qu'il a fini par avouer que les entreprises marocaines n'accordent pas une très grande importance au stagiaire. J'étais à la fois rassuré et mécontent. On ne peut alors qu'espérer dans les années à venir que les autorités compétentes accordent au stagiaires leur propre statut. Cette problématique a suscité un long débat lors des questions réponses.
Un salut romain à Monsieur Lhajoui qui a brillamment animé la rencontre.
Le mot de la fin est de Monsieur le directeur, qui a proposé d'instituer ce genre de rencontre dans une sorte de tradition. On applaudit chaleureusement cette initiative et on espère qu'elle portera ces fruits le plus rapidement possible.
Le rideau de la première édition s'est fermé sur une impressionnante exposition de bijoux dans notre petit musée.

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samedi, décembre 09, 2006

Un écran en béton!

Une équipe danoise a réussi à créer un écran en béton. Oui, le fameux mélange ciment+sable+gravier+eau+adjuvant que notre chère professeur de matériaux Mr Lahlou ne cesse de nous familiariser avec.
Il s'agit en fait d'un écran qui se compose de fibres optiques disposées comme des pixels. Il est lourd certes, mais son potentiel en perspectives et possibilités diverses va nous forcer à repenser nos manières de production et de communication dans un monde en plein changement.



En 2100 vous assisterez, vous ou vos enfants, à des Twin-center TV. C'est une idée innovante qui profitera certainement au secteur de la publicité.
Outre-mer les grandes universités des concours pour créer et innover les matériaux de construction, et ici on cherche toujours un bon béton à faible coût.

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Netvibes, votre nouvelle page d'accueil.

Netvibes est un portail d'information entièrement personnalisable dans lequel vous pouvez inclure le contenu de votre choix, et le placer où bon vous semble. Cela permet d'avoir en une seule page un aperçu des informations issues de divers sites ou services. Tout se configure en quelques clics.
Vous pouvez regrouper dans cette page:

  • Différents moteurs de recherche
  • L'actualité(politique, sportive, économique...)
  • La météo
  • Les titres des grands journaux
  • Les flux rss de blog, "vous pouvez alors lire mon blog directement de cette page"
  • Un calendrier
  • Votre boite mail
A force de l'utiliser, vous découvrirez pleins d'autres services facilitant largement la navigation sur internet. C'est vraiment une idée innovante de leur créateur français. Un salut romain aux frenchies.


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samedi, décembre 02, 2006

Crédits étudiants pour les futurs ingénieurs.

  • Une convention entre Attijariwafa bank et l’Ecole Hassania

  • Des crédits d’environ 200.000 DH sur 2 ans

  • 2 à 3 ans de différé et 4 ans pour le remboursement

Emprunter pour faire des études supérieures. L’idée avait fait sensation à son lancement, il y a quelques années, mais les banques ont vite fait de fixer des limites à cette possibilité. Des crédits étudiants, oui, mais que les conventions soient conclues avec les établissements de formation et que ceux-ci cautionnent les bénéficiaires. Quelques rares écoles privées l’on fait et le font toujours. Dans le secteur public, en revanche, c’est bien la première expérience du genre. Attijariwafa bank et l’Ecole Hassania des travaux publics (EHTP) ont, en effet, signé mercredi dernier, une convention de partenariat qui permettra aux futurs ingénieurs de s’offrir des formations dans de grandes écoles françaises, Ponts et chaussées ou encore l’Ecole d’aviation civile.
Ce sont des “prêts de mérite”, précise, toutefois, Youssef Rouissi, responsable banque des particuliers et des professionnels à Attijariwafa bank. “Seuls les meilleurs éléments pourront en bénéficier”, précise-t-il.
De fait, les étudiants ingénieurs entament leur cursus à l’école Hassania. Au bout de la 2e année, les écoles françaises offrent des places aux plus méritants pour les deux autres années de formation. “Aujourd’hui, la France nous offre plus de places que ce que nos bourses peuvent assurer. Or plusieurs de nos étudiants, qui ne sont pas moins méritants, sont intéressés par une expérience à l’étranger”, souligne Dalil Guendouz, directeur de l’EHTP. Ce sont donc ces deux années qui seront financées par les crédits. La banque offre une formule d’environ 200.000 DH par étudiant, adaptable selon les cas. Le différé de remboursement est de 2 à 3 ans, “l’étudiant ne paiera pas un centime pendant cette période-là”, indique-t-on à Attijariwafa.
Le remboursement est ensuite effectué sur 4 ans. Ce qui donne, selon les banquiers, une période d’amortissement de 7 ans. Aussi, sur quatre ans, le montant des traites s’élèvera à environ 4.000 DH/mois mais à seulement 2.300/mois sur la totalité de la période. C’est au futurs ingénieurs de s’organiser en conséquence et d’adapter leurs échéances à des salaires situés entre 8.000 et 10.000 DH pour les débutants.
“Les taux d’intérêt ne sont pas encore définis”, indique Rouissi. Il explique, en outre, qu’il n’y aura pas de taux fixe. Celui-ci variera selon le montant du crédit et les modalités de remboursement.
Par ailleurs, cette convention n’est pas limitée dans la durée et ne fixe pas un nombre précis de bénéficiaires. “Tout dépendra de l’offre des écoles étrangères et de la demande des étudiants”, ajoute Rouissi.
A noter que les étudiants, toutes nationalités confondues, peuvent présenter leurs candidatures. “Le seul passeport dont vous aurez besoin est celui de l’EHTP”, a affirmé Guendouz. Enfin, pas de craintes à avoir quant à une éventuelle fuite des cerveaux. Le directeur rassure en déclarant un taux de retour des étudiants de 100%. “Les ingénieurs sont conscients des opportunités de carrière que leur offre le marché marocain aujourd’hui. Sans oublier que le rythme des études ne leur laisse pas forcément le temps de s’installer en France”, ajoute-t-il.
L'Économiste.


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Le premier pas est toujours difficile!

Le premier pas n'est pas facile à entreprendre, mais il faut oser. Aujourd'hui, j'ai osé ouvrir un blog. Le pourquoi du comment, j'essayerais de l'expliquer au fur et à mesure de mes posts.
Vous allez certainement me demander pourquoi j'ai choisi EHTP comme titre de mon blog.

Euuhhh..............

Après 5 min de réflexion et j'ai pas trouvé mieux que ça : C'est parce que l'EHTP est le nom de mon école et elle occupe la plupart de mon temps.

La plupart: Quel gâchis! diront certain et tant mieux diront d'autres. Eh bien moi je n'arrive pas à me situer entre ces deux catégories de gens. Tantôt il y règne une ambiance agréable, tantôt c'est un cimetière de mort-vivant.

Je vais me lancer un défi : Tant que ce blog vivra, il y aura une vie à l'école. Je me prends pour à un réanimateur qui opère un massage cardiaque à un patient en coma.
Est ce qu'il vivra? That is the question!

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